«Créer des ponts entre les cultures par l'art et l'amitié »
- Marlene Luce Tremblay
- 19 juin
- 2 min de lecture
Au cours des vingt-cinq dernières années passées à créer et à partager mon art, j’ai eu la chance de tisser des amitiés profondes. Ce lundi, mes amis artistes sont venus de la ville jusqu’à ma nouvelle maison à Hudson. Lorsque nous nous réunissons, des étincelles d’inspiration jaillissent toujours — nos énergies créatives semblent se répondre et s’animer mutuellement.
Avec Neila Benayed, Bousmaha Seddiki, Jean-François Leclerc et Michel Pierre Lachance
Notre parcours collectif a commencé il y a plusieurs années lors d’un échange culturel entre des artistes de Tunisie et du Canada. À l’époque, alors que je travaillais aux Nations Unies, j’ai rejoint le groupe pour une exposition phare au Musée national du Bardo, à Tunis.
C’est pendant ce séjour que j’ai été hébergé chez la famille de Neila : un foyer chaleureux et animé, baigné de rires grâce à ses trois enfants. Ces journées passées dans les vastes pièces baignées de lumière ont semé les graines d’amitiés durables — oserais-je dire, pérennes.
Au fil du temps, nous avons nourri ce lien, lançant ensemble de nouveaux projets artistiques.
Cette dynamique nous a menés à créer « identité-e-s», un concept d’exposition collective qui a trouvé refuge à Montréal.
L'arrivée des artistes à l'aéroport pour l'exposition au Musée National du Bardo à Tunis; les visites de la Médina, ainsi qu'à Sidi Bou Saïd au Café des Délices
Lorsque je travaillais encore aux Nations Unies, Neila est venue à New York avec nos amis de Tunisie — Alia, Zoubeida et Sayda — pour des expositions à New York. Nous avons présenté nos œuvres à la Ashok Jain Gallery, puis plus tard aux Nations Unies. Chaque événement semblait renforcer notre vision commune et approfondir notre connexion — la preuve que l’art peut vraiment transcender les frontières.
Expositions à la galerie Ashok Jain à New York et au siège de l'ONU et chez-moi à Waterside Plaza à Manhattan
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